De hier à demain : la liberté vacille
Le monde d’hier et d’aujourd’hui
Ceci est une histoire, l’histoire de tout un chacun, la simple histoire du temps qui passe, une cavalcade pour certains, un long fleuve tranquille pour d’autres. Chacun la vie à sa manière. C’est l’histoire d’un peuple en déroute, déraciné, martyrisé, victime de la barbarie de certains qui agissent avec une extrême cruauté.
Peuple en sursit condamné à mort, ballotté au gré de la guerre par la folie des hommes. Plus d’espoir ni de rêve, femmes enfants vieillards ne font plus qu’un sur le chemin de l’exile vers une terre promise où personne ne veut d’eux.. C’est une triste et sinistre réalité, un constat alarmant.
L’Europe se fracture, les frontières jadis ouverte se referment insensiblement avec plus de contrôle pour les entrées sur les territoires et pire les ramenés au point d’origine. Une Europe à l’agonie qui ne pourra faire face à un flux migratoire d’une aussi grande importance. Il est évident qu’on ne peut pas rester insensible à un tel drame mais comme le prévenir sans mettre en danger économiquement les pays qui doivent les accueillir.
Ils sont devenus un peuple migratoire bien malgré eux, poussés par la guerre la peur la famine hors de leur terre et de leur culture ils se trouvent confrontés à d’autres problèmes, ce qui ne fait qu’amplifier ce qu’ils avaient déjà, mal logés, affaiblis et malades, les associations caritatives font ce qu’elles peuvent avec les moyens dont elles disposent. Solidarité et économie ne font hélas pas bon ménage. Les plus fortunés se barricadent face à ce qu’ils ressentent comme une menace, on a constaté beaucoup d’incident un peu partout et beaucoup s’en plaignent. Un pays ne peut donner plus qu’il ne possède sans se mettre lui-même en danger.
Voilà l’histoire telle qu’elle est, effroyable et monstrueuse histoire, qui un jour aurait pu croire que cela allait se produire à une telle échelle et surtout au 21 siècle.
Le monde d’hier et d’aujourd’hui, il ne sera plus jamais le même, fini la quiétude et la paix, le monde est en guerre.
Le monde de demain.
Ce n’est pas de la science de fiction, on y viendra à plus ou moins brève échéance, c’est l’évolution de nos sociétés, leurs survies même. Cela prendra du temps beaucoup de temps, MAIS quand toutes les difficultés seront aplanies quand toutes les dettes seront abolies une Europe fédérale naîtra, nous avons déjà la monnaie unique nous aurons un jour une langue commune une sorte d’espéranto qui permettra de se comprendre en l’adaptant pour le bien de tous, plus il y a de communauté différente puis il y a de langue différente et un jour hélas viendra où notre pays perdra son identité et la langue de Molière aura disparus, c’est un fait, une vérité incontournable Nous ne serons pas les seuls victimes les pays voisins subiront le même sort.
Qui dit Europe fédérale dit gouvernement fédéral reste à définir la capital de cet état souverain. Nous serons soit un modèle à suivre soit une proie à abattre. Mais la contrepartie fera que toutes les frontières entre pays qu’on a un jour supprimées referont leur apparition en une seule frontière celle de l’état fédéral.
Ce jour il n’y aura plus qu’un seul peuple, le peuple Européen, une seule loi, la loi Européenne. En espérant qu’il y aura plus de justice qu’aujourd’hui, ce que je crois nullement bien entendu. Je pense que le pire est à venir. Les grosses multinationales régneront, une oligarchie patronale prendra le pouvoir, avec pour mission de renverser les données actuelles : c’est-à-dire que les migrants et les chômeurs d’aujourd’hui seront les actifs de demain, qui eux se contenterons d’un salaire qui sera divisé par deux. Les logements, la santé, la nourriture sera fournie par ces multinationales. Un ouvrier bien nourris et en bonne santé fournira plus d’effort qu’un ouvrier mal nourris et malade ; une simple question de bon sens et une équation rentable pour l’employeur. On verra alors naître un état financier dans un état politique et législatif qui dépendra en partis de l’état financier. Bien entendu il y aura des choix à faire et un camp à suivre. Soit on travaillera pour l’état politique (les fonctionnaires d’aujourd’hui pour ainsi dire) soit on travaillera pour l’état financier qui assumera les besoins de tous ses salariés(le privé d’aujourd’hui) certains seront mieux lotis que d’autres. L’intérêt d’un seul primera sur l’intérêt général, rien n’a jamais été gratuit et rien ne se le sera jamais. C’est un projet à très long terme, insidieusement et minutieusement élaboré par cette nouvelle classe dirigeante.
Soit on se plis aux règles et on survit soit on se rebelle. …
Que les générations à venir se préparent au grand chambardement.
Ils seront les acteurs et en même temps les spectateurs de la réalité qui se dessinera devant eux. Une nouvelle société naîtra sous leurs yeux, une mégalopole fédérale aux pouvoirs étendus dont les maîtres mots seront profits et rentabilités. Les êtres humains seront ravalés au rang de sous-produits, pareil à des êtres robotisés dont la tâche essentiel sera le travail, nécessitant peu de repos, ni de loisirs. Une classe laborieuse mécanisée et manipulée pour que la classe dirigeante puisse bénéficier du profit généré à moindre coût.