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  le blog anthologie

Le portugal à l'honneur avec Pessoa

25 Mai 2007 , Rédigé par gentle13 Publié dans #anthologie

Bonjour aujourd'hui nous partons pour le Portugal à la rencontre de cet homme là dont on m'a suggère le nom il y a quelque temps et j'avoue que la personne n'avait pas tort je rencontre là un géant, un grand poète dont la notoriété à franchi les frontières de son pays, comme beaucoup il était presque inconnu de son vivant car il utilisait des pseudonymes mais qui était en fin de compte été beaucoup plus que ça. Cela correpondait à de véritables personnalités les trois principales sont :  Alberto Caeiro, Ricardo Reis,  avec "les poèmes païens", ouvrage que je vais me procurer sans tarder, est Alvaro de Campos. Chacun des ses personnages qu'il faisait naître  possédait un caractère, une biographie, une date de naissance, des opinions politiques et religieuses. Pessoa en dehors de son travail poétique mena une vie modeste, effacée et sédentaire, et créa quelques revues éphémères. Il mourut en 1935, laissant derrière lui une malle contenant son oeuvre, et qui depuis n'a cessé d'être inventoriée afin de libérer tous les poèmes, endormis et inconnus, qu'elle contenait. Pour débuter je vous présenterais "l'heure du diable" vous trouverez un extrait du livre tout en bas


Biographie de Fernando Pessoa
Fernando Pessoa
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Fernando Pessoa
Fernando Pessoa
Sa signature.
Sa signature.

Fernando António Nogueira Pessoa est un écrivain et un poète portugais, né le 13 juin 1888 à Lisbonne, ville où il meurt le 30 novembre 1935. Son nom de famille était orthographié Pessôa sur son acte de naissance (accent circonflexe supprimé par une réforme ultérieure de l'orthographe portugaise).

Prolifique et protéiforme, Pessoa est un auteur majeur de la littérature de langue portugaise et de la littérature mondiale (il a écrit aussi en anglais et en français). Il signe ses œuvres sous différents hétéronymes en sus de son propre nom : Alberto Caeiro, Ricardo Reis, Alvaro de Campos, etc. Bernardo Soares, auteur du Livre de l'intranquillité est considéré par lui comme son semi-hétéronyme, plus proche de l'auteur orthonyme.

La plupart de son œuvre, à l'exception de quelques rares textes dans les revues comme la célèbre Orpheu et de deux textes en anglais, n'a été publiée qu'après sa mort, retrouvée dans une malle d'où tout n'est pas encore sorti. Seule exception notable, le recueil de poèmes Message qui obtint même un prix du gouvernement portugais doté de 5 000 escudos (le prix Antero-de-Quental).

Il a la particularité d'être anglophone pour avoir passé une bonne partie de son enfance à Durban (Natal, Afrique du Sud) où son beau-père avait été nommé consul du Portugal. Il y avait fait de brillantes études à la High School de Durban et avait réussi l'Intermediate Examination in Arts (l'examen d'entrée) à l'Université du Cap de Bonne-Espérance en 1904, juste avant de rentrer chez lui à Lisbonne.

En 1985, pour le cinquantenaire de sa mort, ses restes sont transférés au jour anniversaire de sa naissance au monastère des Hiéronymites (Mosteiro dos Jerónimos) à Lisbonne. Depuis cet hommage national officiel, il repose à quelques mètres des cénotaphes de Luís de Camões et de Vasco de Gama, et en 1986 il fut représenté sur les billets de banque portugais de 100 escudos (voir plus bas).



  – Je suis le maître lunaire de tous les rêves, le musicien solennel de tous les silences. Vous vous souvenez de ce que vous pensez quand, toute seule, vous êtes devant un grand paysage d’arbres et de clair de lune ? Vous ne vous en souvenez pas, parce que vous avez pensé à moi, mais, je dois vous le dire, je n’existe pas réellement. Si quelque chose existe, je n’en sais rien.
     – Les aspirations vagues, les désirs futiles, les dégoûts des choses ordinaires, même lorsque nous les aimons, l’ennui de ce qui n’ennuie pas – tout cela est mon œuvre, née lorsque, allongé sur la berge des grands fleuves de l’abîme, je pense que je ne sais rien moi non plus. Alors ma pensée descend, effluve vague, dans les âmes des hommes et ils se sentent différents d’eux-mêmes.
     – Je suis l’éternel Différent, l’éternel Ajourné, le Superflu de l’Abîme. Je suis resté hors de la Création. Je suis le Dieu des mondes qui ont existé avant le Monde – les rois d’Édom qui ont mal régné avant Israël. Ma présence dans cet univers est celle de celui qui n’a pas été invité. Je porte en moi les souvenirs de choses qui ne sont pas parvenues à être, mais qui étaient sur le point d’être. (Il n’y avait alors aucun face à face ni aucun équilibre.
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B
bonsoir Armando ...un très grand écrivain et un immense poète ...merci à toi et très bonne soirée
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F
envie de venir te faire un petit bisou et flaner dans tes anciens articles ... sourire ! bisou
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A
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C
 Bisous d'annecy ...sous la pluie ! le nouvel article est en ligne pour les curieux!!! bonne fin de journée , christel
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M
bon lundi   férié ou pas , bon lundi quand même ..Ciel gris, tempête, vent , voilà mon paysage encore aujourd'hui   et de ma fenêtre j'entends l'océan qui gronde ...........bisous..
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