Mes choix de livres 2
Dans la série livre étranger, je tenais à vous présenter un écrivain Japonais dont les livres traduit en France ont enchanté plus d’un lecteur, moi compris. http://fr.wikipedia.org/wiki/Haruki_Murakami. Aujourd’hui je mettrais en valeur les livres que j’ai lu et qui m’ont fait voyager dans un ailleurs particulier propre à cet auteur.
1982 : La course au mouton sauvage
1985 : La Fin des temps, celui là est superbe, une histoire qui vous tient éveillez bien malgré parce qu’il vous entraîne dans un laboratoire situé dans les sous sol obscur d’un immeuble ou bien malgré lui il est engagé dans une colossale guerre informatique avec une adolescente plutôt ronde mais charmante, je ne dirais pas plus je vous laisse le lire.
1992 : Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil
1992-1995 : Chroniques de l'oiseau à ressort : Quand sa femme le quitte, sans raison apparente, le protagoniste du roman plonge peu à peu dans un réseau de relations étranges, bizarrement liées au puits à sec d'une maison voisine, théâtre d'enjeux financiers et de manifestations surnaturelles.
1999 : Les Amants du Spoutnik
2004 : Le passage de la nuit : Le temps d'une nuit, pareils à des mobiles lancés sur une trajectoire (qui devient dès lors la leur, sans que rien ne puisse, en l'état actuel des connaissances, en justifier le sens), se rencontrent et/ou se croisent des individus, le temps d'un itinéraire contraire ou d'une discussion dont le contenu fera se dilater le temps.
La ville devient dès lors un cosmos dans lequel se développent d'étranges phénomènes (parce qu'inexpliqués ?).
Le point de vue de l'auteur : un œil surplombe la ville et se dirige dans un mouvement de focale, vers les lieux d'actions. Le cosmos serait-il réductible à un panoptique ?
Un détour par la France pour vous parler de J.M.G LE CLEZIO, la référence littéraire française selon moi, un écrivain que tout le monde connait et qui ont lu au moins un de ces livres
http://fr.wikipedia.org/wiki/J._M._G._Le_Clezio
Jean-Marie Gustave Le Clézio, plus connu sous la signature J. M. G. Le Clézio[1], né le 13 avril 1940 à Nice, est un écrivain de langue française[2],[3], de nationalités française et mauricienne. Il connaît très vite le succès avec son premier roman publié, Le Procès-verbal, en 1963. Jusqu’au milieu des années 1970, son œuvre littéraire porte la marque des recherches formelles du Nouveau Roman. Par la suite, influencé par ses origines familiales, par ses incessants voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, Le Clézio publie des romans qui font une large part à l’onirisme et au mythe (Désert et Le Chercheur d’or), ainsi que des livres à dominante plus personnelle, autobiographique ou familiale (L’Africain)[4]. Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages de fiction (romans, contes, nouvelles) et d’essais.
Le prix Nobel de littérature lui est décerné en 2008, en tant qu’« écrivain de nouveaux départs[5], de l’aventure poétique et de l’extase sensuelle, explorateur d’une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante »[6].
Ensuite jean d’Ormesson, j’avoue avoir un « faible » pour cet écrivain qui m’a fait lui aussi passé des heures sans sommeil mais avec un grand plaisir. Pour moi cet homme à un immense talent d’écrivain et une profonde humilité
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_d’Ormesson
Jean d'Ormesson est le fils d'André d'Ormesson, ambassadeur de France. Sa mère, née Marie Anisson du Perron, descend des Le Peletier. Le conventionnel Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est son arrière arrière-grand-père. Il a passé son enfance au château de Saint-Fargeau, qui appartenait à sa mère. Cet épisode de sa vie est évoqué dans Au plaisir de Dieu. Il a aussi passé une partie de sa jeunesse en Bavière (de 1925 à 1933), en Roumanie et au Brésil à Rio de Janeiro[1].
Voila en particulier les livres que j’ai aimé lire : Histoire du Juif errant, La Douane de mer, Presque rien sur presque tout Le Rapport Gabriel, C'était bien.