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  le blog anthologie

Haruki Murakami

3 Juillet 2009 , Rédigé par gentle13 Publié dans #anthologie

Dans la série livre étranger, je tenais à vous présenter un écrivain Japonais dont les livres traduit en France ont enchanté plus d’un lecteur, moi compris. http://fr.wikipedia.org/wiki/Haruki_Murakami. Aujourd’hui je mettrais en valeur les livres que j’ai lu et qui m’ont fait voyager dans un ailleurs particulier propre à cet auteur.

1982 : La course au mouton sauvage

1985 : La Fin des temps, celui là est superbe, une histoire qui vous tient éveillez bien malgré parce qu’il vous entraîne dans un laboratoire situé dans les sous sol obscur d’un immeuble ou bien malgré lui il est engagé dans une  colossale guerre informatique avec une adolescente plutôt ronde mais charmante, je ne dirais pas plus je vous laisse le lire.

1992 : Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil

1992-1995 : Chroniques de l'oiseau à ressort : Quand sa femme le quitte, sans raison apparente, le protagoniste du roman plonge peu à peu dans un réseau de relations étranges, bizarrement liées au puits à sec d'une maison voisine, théâtre d'enjeux financiers et de manifestations surnaturelles.

1999 : Les Amants du Spoutnik

2004 : Le passage de la nuit : Le temps d'une nuit, pareils à des mobiles lancés sur une trajectoire (qui devient dès lors la leur, sans que rien ne puisse, en l'état actuel des connaissances, en justifier le sens), se rencontrent et/ou se croisent des individus, le temps d'un itinéraire contraire ou d'une discussion dont le contenu fera se dilater le temps.

La ville devient dès lors un cosmos dans lequel se développent d'étranges phénomènes (parce qu'inexpliqués ?).

Le point de vue de l'auteur : un œil surplombe la ville et se dirige dans un mouvement de focale, vers les lieux d'actions. Le cosmos serait-il réductible à un panoptique ?

Un détour par la France pour vous parler de J.M.G LE CLEZIO, la référence littéraire française selon moi, un écrivain que tout le monde connait et qui ont lu au moins un de ces livres

http://fr.wikipedia.org/wiki/J._M._G._Le_Clezio

Jean-Marie Gustave Le Clézio, plus connu sous la signature J. M. G. Le Clézio[1], né le 13 avril 1940 à Nice, est un écrivain de langue française[2],[3], de nationalités française et mauricienne. Il connaît très vite le succès avec son premier roman publié, Le Procès-verbal, en 1963. Jusqu’au milieu des années 1970, son œuvre littéraire porte la marque des recherches formelles du Nouveau Roman. Par la suite, influencé par ses origines familiales, par ses incessants voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, Le Clézio publie des romans qui font une large part à l’onirisme et au mythe (Désert et Le Chercheur d’or), ainsi que des livres à dominante plus personnelle, autobiographique ou familiale (L’Africain)[4]. Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages de fiction (romans, contes, nouvelles) et d’essais.

Dans la série livre étranger, je tenais à vous présenter un écrivain Japonais dont les livres traduit en France ont enchanté plus d’un lecteur, moi compris. http://fr.wikipedia.org/wiki/Haruki_Murakami. Aujourd’hui je mettrais en valeur les livres que j’ai lu et qui m’ont fait voyager dans un ailleurs particulier propre à cet auteur.

1982 : La course au mouton sauvage

1985 : La Fin des temps, celui là est superbe, une histoire qui vous tient éveillez bien malgré parce qu’il vous entraîne dans un laboratoire situé dans les sous sol obscur d’un immeuble ou bien malgré lui il est engagé dans une  colossale guerre informatique avec une adolescente plutôt ronde mais charmante, je ne dirais pas plus je vous laisse le lire.

1992 : Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil

1992-1995 : Chroniques de l'oiseau à ressort : Quand sa femme le quitte, sans raison apparente, le protagoniste du roman plonge peu à peu dans un réseau de relations étranges, bizarrement liées au puits à sec d'une maison voisine, théâtre d'enjeux financiers et de manifestations surnaturelles.

1999 : Les Amants du Spoutnik

2004 : Le passage de la nuit : Le temps d'une nuit, pareils à des mobiles lancés sur une trajectoire (qui devient dès lors la leur, sans que rien ne puisse, en l'état actuel des connaissances, en justifier le sens), se rencontrent et/ou se croisent des individus, le temps d'un itinéraire contraire ou d'une discussion dont le contenu fera se dilater le temps.

La ville devient dès lors un cosmos dans lequel se développent d'étranges phénomènes (parce qu'inexpliqués ?).

Le point de vue de l'auteur : un œil surplombe la ville et se dirige dans un mouvement de focale, vers les lieux d'actions. Le cosmos serait-il réductible à un panoptique ?

Un détour par la France pour vous parler de J.M.G LE CLEZIO, la référence littéraire française selon moi, un écrivain que tout le monde connait et qui ont lu au moins un de ces livres

http://fr.wikipedia.org/wiki/J._M._G._Le_Clezio

Jean-Marie Gustave Le Clézio, plus connu sous la signature J. M. G. Le Clézio[1], né le 13 avril 1940 à Nice, est un écrivain de langue française[2],[3], de nationalités française et mauricienne. Il connaît très vite le succès avec son premier roman publié, Le Procès-verbal, en 1963. Jusqu’au milieu des années 1970, son œuvre littéraire porte la marque des recherches formelles du Nouveau Roman. Par la suite, influencé par ses origines familiales, par ses incessants voyages et par son goût marqué pour les cultures amérindiennes, Le Clézio publie des romans qui font une large part à l’onirisme et au mythe (Désert et Le Chercheur d’or), ainsi que des livres à dominante plus personnelle, autobiographique ou familiale (L’Africain)[4]. Il est l’auteur d’une quarantaine d’ouvrages de fiction (romans, contes, nouvelles) et d’essais.

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