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  le blog anthologie

De l’aube au crépuscule

9 Février 2007 , Rédigé par gentle Publié dans #texte perso

Ah l'amour n'est-ce pas la plus belle des choses, n'est-il pas  le moteur de la vie ? Bien évidemment me répondriez vous et vous auriez raison sans nul doute. Il est difficile de vivre sans et quand on l'a on fait tout son possible pour le détruire, par bêtise, par méchanceté. Quand la routine s'installe on ne voit plus l'autre on sait simplement qu'il est là, on n'a tellement l'habitude de le voir tout comme un meuble qui est posé là qu'on n'y fait même plus attention.
Ce n'est pas ça l'amour
L'amour c'est aimé l'autre pour ce qu'il est
C'est regarder dans la même direction
L'amour c'est le besoin de l'autre chaque jours qui passent.
L'amour est une belle chose très fragile qui peut se rompre à tout instant, pour un mot pour un geste.
Alors ne reste plus que les regrets et les remords une fois que l'amour s'est émoussé comme une fleur qui se fane par manque d'eau.
Ne reste plus alors que la tristesse et les larmes.
Mais ce n'est pas ça l'amour...
Gentle13
Nouveauté sur anthologie, à lire et relire, à consommer sans modération ni risque d'indigestion.


De l’aube au crépuscule de l’amour ou la métamorphose de la lumière
lundi 26 septembre 2005.
 
Les éditions Editinter viennent de faire paraître une œuvre d’une rare intensité où les sentiments sont mis à nus, telle une feuille embrasée de soleil.
Brigitte Egger-Béarn : De l’aube au crépuscule de l’amour
Brigitte Egger-Béarn : De l’aube au crépuscule de l’amour
Editinter, EAN
L’amour et l’urgence liés par la valse des jours dessine un étrange ballet sous nos yeux saisis par l’étonnement.

Il existe bien peu d’êtres capables de hisser aussi haut la bannière du cœur. Brigitte Egger-Béarn s’est mise tout entière dans cette poésie comme la perle dans la chair de l’huitre.

L’union de deux êtres exceptionnels donne peu à peu naissance à une pierre aussi rare que précieuse née d’une étincelle ou d’un grain de poussière. L’amour avec un A majuscule est avant tout alchimie.

Lorsque Pierre Béarn, chantre des hommes et sans aucun doute, le plus grand fabuliste du XX ème siècle, rencontra Brigitte, peut-être ignorait-il qu’il entrait dans la cathédrale de l’amour.

Brigitte nous convie à partager son histoire de femme passionnée, amoureuse d’un être exceptionnel. Sensible et généreuse, elle donnera tout, sans réserve aucune et sans fausse pudeur à l’homme, au poète, à l’artiste qui incarne son idéal. La vérité dans l’amour est le gage immortel de l’authenticité. Ce recueil ressemble à la fois à une confidence et une épopée.

Ces deux aspects ne sont ici pas incompatibles, mais complices.

Un vers souple, libre et musical traduit avec une sensibilité presque transparente, l’émotion qui vibre encore dans les veines de son auteur.

Le visage de cette intimité possède mille et une facettes. Sur le clavier des jours, quatre mains nous interprètent la vie dans ce qu’elle possède de plus précieux, de plus admirable. La magie de ces instants est d’autant plus extraordinaire que la mort rôde... comme une sauvageonne qui cherche à mordre, à chaque instant, ce bonheur si rare, forgé sur l’enclume même de la vie.

Tour à tour, découverte, hymne à la chair, cri d’angoisse, fusion du geste et de la parole, danse de l’âme au bord de la chute, ce recueil de Brigitte Egger-Béarn se métamorphose en un symbole, celui de la ténèbre où s’épuise la mort.

Un livre de chevet indispensable en ces temps où les sentiments ont disparu, chassés par la meute redoutable de la haute finance et de la rentabilité !

"Quelle hantise de la mort
impose à la fleur de jouir,
d’épanouir son bouton d’or
en défi à l’infamie
qui nous condamne à périr ?

A quel paradis prétendre
hors les bras de mon amant ?
Nos exploits se divinisent
en astres incandescents

Quels délires pourraient ravir
mes plus infimes secrets
que les nôtres ici-bas ?
Ma méduse est médusée
par nos chevauchées intimes,
nos galaxies en folie

Au ciel d’éternels regrets
quelles autres étoiles filantes
pourraient satisfaire mon attente
de promesses nébuleuses,
alors que ton corps me hante
de folles visions savoureuses
car lui SEUL peut me sauver ?

Ta chair est ma religion
ton goupillon est son centre,
et sa galaxie mon ventre
où tu oses mille choses
sacrées par leur déraison
en affamé de mon fruit

Et toujours je voudrais boire
à la source de ton puits
pour que nos souffles mêlés
puissent un jour triompher
de l’instant où la nature
subit le viol de rupture
tel un arbre qu’on abat"

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R
Je suis désolé un copier coller pour tous le monde, je ne pense pas pouvoir être beaucoup sur mon ordi cette semaine, mon mari rentre a l’Hospital Mardi, il seras opéré Mercredi matin, je passe pour te souhaiter une très bonne semaine, je te dis a bientôt . Bisous ………………rose
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:
je suis émerveillée par ce texte, je constate que les poète parlant politique ou histoire patriote me plaise nettement moinq que ceux qyui parlent sentiment amour nature, celle ci me convient et ta présentation est sublime, je te sens toi aussi plus près de ceux qui décrivent les sentiment,. Que c'est beau.<br /> je t'envoie une de mes photos retouchées avec mon logiciel, je l'ai platifié pour qu'elle supporte le voyage jusqu'à toi<br /> super journée avec des bigs bisous. ♥
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C
encore un beau poème ... bisous et bonne soirée , christel
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